Le Niger perd 509 km2 de son territoire au profit du Burkina

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La superficie du Niger se rétrécie sous la 7eme République.
Le Niger doit se résoudre à changer la superficie dans les livres de géographie et faire changer de nationalités à des milliers de citoyens qui étaient fiers d’être nigériens.
Désormais  la superficie du pays est de 1 266 491 Km2  au lieu jadis de 1267 000 Km2.

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La nouvelle est tombée comme un couperet, le Burkina Faso sort vainqueur du procès  sur le différend frontalier avec notre pays
Si  pour le cas de l’ile de l’été, on se rappelle, le Président Tandja  et son gouvernement  conduit par Hama Amadou sous la conduite des ministres Aichatou Mindaoudou des Affaires Etrangères et Maty El Hadj Moussa de la Justice ont vaillamment et dignement  défendu les intérêts du Niger, tel n’a pas été le cas avec le régime du Président Issoufou Mahamadou.
Le ministre de la justice garde après l’incendie de son département  ministériel  dont l’enquête  n’a jamais abouti , ajoute à ses tristes palmarès  la perte d’une portion importante  du pays au profit du Burkina Faso qui a investi tous les moyens pour gagner le verdict pendant  que le gouvernement  nigérien perdait son temps dans des futilités, des absurdités tels que des  arrestations pour présumés complots  à la surete de l’Etat, des faux procès contre des opposants ou des simples étudiants.
Ainsi , le tracé de la frontière entre le Burkina Faso et le Niger issu de la colonisation va être modifié d’ici 2016 : la justice internationale a tranché, et 18 communes vont du coup changer de pays.
La Cour internationale de justice (CIJ) de La Haye, qui a attribué 786 km2 nigériens au Burkina Faso, tandis que 277 km2 burkinabés ont été rendus au Niger.
D’après la secrétaire permanente de la commission nationale des frontières du Burkina Faso, le Burkina Faso gagnera ainsi « quatorze villages », contre « quatre » pour le Niger à la fin du bornage, prévu « d’ici 2016 ».
Désormais, 630 kilomètres doivent être bornés pour marquer définitivement la nouvelle frontière.
Le  manque de pugnacité et l’insouciance ont donc entrainé  la perte d’une portion importants de notre pays, environ 509 km2 de terres fertiles et riche en or, en fer et en phosphate.
Il faut désormais mettre dans le bilan de la renaissance cette  page noire dans les annales du pays.
Niger Express

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