En marge des festivités entrant dans le cadre de la célébration de la Fête Tournante du 18 décembre à Dosso, il est prévu l’organisation d’un colloque international sur les relations entre les régions de Dosso (Niger), Sokoto et Kebbi (Nigeria). Pour ce faire, il a été mis en place un Comité chargé de l’organisation de ce colloque.
Quels sont les objectifs visés à travers l’organisation de ce colloque ?
Depuis plusieurs décennies, la célébration de l’anniversaire de la proclamation de la République de notre pays est une opportunité pour tous les régimes qui se sont succédé pour organiser une fête pour la jeunesse nigérienne à travers des compétitions sportives, culturelles et artistiques.
A l’origine, cette manifestation a pris le nom de Semaine de la Jeunesse, puis plus tard Festival de la Jeunesse. De nos jours, l’expression utilisée officiellement est »Fête Tournante du 18 décembre ». L’innovation apportée cette année réside dans l’organisation d’un colloque international sur les relations entre les régions de Dosso, Sokoto et Kebbi.
Le colloque, qui fait partie intégrante du programme du comité interministériel chargé de l’organisation de la fête du 18 décembre, vise un certain nombre d’objectifs: permettre tout d’abord d’impliquer la communauté universitaire jusqu’ici absente de cette grande manifestation nationale; ensuite, à travers des réflexions autour des thèmes d’intérêt commun, favoriser une synergie entre les différentes institutions universitaires de nos deux pays; enfin, nous sommes convaincus qu’il s’agit d’une opportunité pour renforcer les liens d’amitié et de solidarité entre les populations des deux pays.
Ce colloque qui permettra de réunir des documents et témoignages sur l’histoire et la culture, les relations sociales, politiques et économiques de l’espace géographique concerné, vise, à terme, la publication d’ouvrages qui peuvent servir de base documentaire pour l’édition de manuels scolaires et universitaires pour la jeunesse scolaire et universitaire, qui vous le savez, connaît peu ou mal son environnement socioculturel et son histoire.
Pourquoi un colloque sur les relations entre les régions de Dosso, Sokoto et Kebbi?
Au-delà des frontières administratives héritées de la colonisation qui situent la région de Dosso, donc l’Arewa, le Boboye, le Goubey, le Dendi et le Zigui dans l’Ouest du Niger en espace francophone, et les régions de Sokoto et Kebbi dans le Nord-Ouest du Nigéria en espace anglophone, les communautés coutumières et linguistiques vivant dans ces zones ont en partage, une aire géographique et socioculturelle et des activités socio-économiques communes. L’objectif visé est de briser la barrière artificielle que constitue la frontière »géopolitique » qui, en réalité, n’existe pas dans le vécu quotidien des populations.
A titre indicatif, l’origine des relations entretenues jusqu’à nos jours par les chefferies coutumières du Boboye, de l’Aréwa ou du Dendi avec celles du nord Nigéria sont très mal connues du grand public.
L’organisation de ce colloque constitue ainsi une opportunité pour présenter des communications permettant aux universitaires, et aussi à des personnes ressources détentrices du savoir local, d’intervenir pour éclairer les participants sur l’origine et l’évolution de ces relations.Quels sont les principaux thèmes qui vont être développés à travers les communications qui seront animées au cours de ce colloque ?
Comme le projet d’organisation d’un colloque est l’initiative du département d’histoire de l’Université Abdou Moumouni de Niamey, même au niveau de l’université, certains de nos collègues ont cru que cela concerne uniquement l’histoire des relations entre les régions de Dosso, Sokoto et Kebbi.
En réalité, il s’agit de constituer un cadre de réflexion et d’échanges sur des problématiques communes. Pendant quatre jours, les participants vont exposer et partager leurs connaissances sur l’ensemble des éléments constitutifs des dynamiques sociales, politiques et culturelles de ces trois régions. Il s’agit aussi de faire découvrir les formes de gouvernance, les ressources naturelles, les flux migratoires, les échanges économiques transfrontaliers, etc. Le colloque s’inscrit dans une perspective pluridisciplinaire permettant d’appréhender l’ensemble des pistes de réflexion relevant de plusieurs disciplines des sciences de l’homme et de la société: la sociologie, l’anthropologie, la philosophie, la littérature orale et écrite, la linguistique, la géographie, l’histoire, l’archéologie, la préhistoire, etc.
L’histoire précoloniale, coloniale et postcoloniale des régions de Dosso, Sokoto et Kebbi: états, économie, sociétés, sites historiques, lieux de mémoire, patrimoines culturel et artistique; l’évolution des relations politiques et formes de gouvernance contemporaine; l’influence culturelle et linguistique (emprunts linguistiques, manifestations culturelles, musique et orchestres traditionnels, etc.); les communautés coutumières et littérature orale; le processus migratoire, formation de colonies et cohabitation entre communautés Zarma, Peuhle et Hausa; l’espace géographique, production agricole et pastorale, commerce et échanges transfrontaliers ; l’environnement, gestion des ressources naturelles, aménagement de l’espace rural et urbain: les manifestations récréatives, culturelles et sportives: luttes et boxes traditionnelles, festivals des jeunesses, foires annuelles, etc.; les relations sociales: entraides et solidarités intra et extracommunautaires, parenté à plaisanterie, etc.).
C’est pourquoi nous espérons pouvoir très rapidement publier plusieurs ouvrages à partir des actes de ce colloque international. D’ores et déjà, nos partenaires du Nigéria nous proposent de prendre en charge la publication des résultats du colloque en deux versions (Anglais et Français).
A moins d’un mois de la tenue de ce colloque, quel est aujourd’hui l’état d’avancement des travaux du Comité scientifique et technique ?
Au même titre que les autres commissions mises en place par le comité interministériel, par arrêté n° 006 du Président du Comité interministériel chargé de la célébration de la Fête du 18 décembre, un comité scientifique et technique chargé de l’organisation du Colloque international a été mis en place. Il est composé d’universitaires, mais aussi de personnes ressources provenant d’autres milieux. Un secrétariat et six sous comités ont été mis en place pour prendre en charge les différents aspects de l’organisation.
Au-delà des communications scientifiques qui seront présentées par les universitaires, notre idée de départ présentée au cours des réunions du comité interministériel était de mettre au cœur de l’événement les populations des différents départements qui constituent la région de Dosso, et cela, à partir d’enquêtes de terrain et de restitutions des résultats à présenter au colloque.
Ainsi, chaque département viendra présenter son document au colloque pour enrichissement. L’homme propose, mais Dieu dispose, dit-on. En dehors du département de Dosso où une association locale a pu préfinancer la collecte et la restitution des données, nous n’avons pas pu effectuer les enquêtes de terrain dans les autres départements malgré la prise de contact avec les autorités coutumières et des correspondances adressées aux autorités locales, notamment les préfets, pour annoncer l’arrivée des enquêteurs et l’identification de personnes ressources. Nous reconnaissons à ce niveau les limites de notre projet.
En ce qui concerne les activités des autres sous comités, le sous-comité scientifique a débuté son programme par une mission de prise de contact au Nigéria, à Sokoto, Birni Kebbi et Argungu pour rencontrer et échanger avec nos partenaires de trois universités des Etats de Sokoto et Kebbi et les autorités religieuses et coutumières.
Cette mission nous a permis de mesurer l’enjeu de ce colloque et son importance pour nos partenaires du Nigéria.
Au niveau local, nous avons échangé des correspondances pour solliciter l’implication de l’Ambassade du Nigéria et de la Commission Mixte Nigéro-nigériane.
A la date du 26 novembre, du point de vue des préparatifs, nous attendons 200 participants. L’agenda du colloque est élaboré, près de quatre-vingt (80) communications ont été envoyées au sous-comité scientifique qui en a retenu une cinquantaine pour des interventions en plénière et dans des ateliers thématiques.
Une cinquantaine de participants attendus du Nigéria ont reçu des invitations (officiels, autorités universitaires, coutumières religieuses et conférenciers). Tous les outils et messages publicitaires élaborés par le sous-comité communication sont disponibles. Nous avons pris contact avec un bureau de consultation pour la traduction simultanée. Une mission se rendra incessamment à Dosso pour faire l’état des lieux. Pour la restauration et l’hébergement, nous avons sollicité auprès du Comité interministériel un certain nombre de villas.
Les autorités rectorales de l’université Abdou Moumouni de Niamey nous ont assurés de toute leur disponibilité pour contribuer à la réussite de l’événement qui rentre dans le cadre des accords de coopération interuniversitaire.
Même si, au moment où je vous parle, nous ne disposons pas encore de l’essentiel des moyens pour nos activités, le président du Comité interministériel et le recteur de l’Université Abdou Moumouni de Niamey auxquels nous faisons régulièrement l’état d’avancement de nos travaux sont parfaitement conscients de l’enjeu. Ils nous apportent quotidiennement leurs conseils pour un bon déroulement de ce colloque. C’est pourquoi nous pensons qu’en dépit du retard pris dans la mise en œuvre des cahiers de charge des différents sous comités (retard lié essentiellement aux procédures de déblocage de fonds), une fois les moyens débloqués, les activités du colloque évolueront rapidement.
Qu’est-ce que vous attendez du public en vue de la réussite de ce colloque ?
Tous les moyens seront mis en œuvre pour une participation massive des jeunes scolaires et universitaires. Par ailleurs, une plénière sera réservée aux communications en langues nationales. Les jeunes et les moins jeunes ne doivent pas rater cette unique opportunité pour partager et améliorer leurs connaissances sur le sujet. Ainsi, lorsque les livres seront publiés et largement diffusés dans les bibliothèques des écoles, collèges, lycées et universités, le participant pourra dire avec fierté: j’y étais et j’ai apporté ma modeste contribution.
Assane Soumana
En marge des festivités entrant dans le cadre de la célébration de la Fête Tournante du 18 décembre à Dosso, il est prévu l’organisation d’un colloque international sur les relations entre les régions de Dosso (Niger), Sokoto et Kebbi (Nigeria). Pour ce faire, il a été mis en place un Comité chargé de l’organisation de ce colloque. Quels sont les objectifs visés à travers l’organisation de ce colloque ?
Depuis plusieurs décennies, la célébration de l’anniversaire de la proclamation de la République de notre pays est une opportunité pour tous les régimes qui se sont succédé pour organiser une fête pour la jeunesse nigérienne à travers des compétitions sportives, culturelles et artistiques.
A l’origine, cette manifestation a pris le nom de Semaine de la Jeunesse, puis plus tard Festival de la Jeunesse. De nos jours, l’expression utilisée officiellement est »Fête Tournante du 18 décembre ». L’innovation apportée cette année réside dans l’organisation d’un colloque international sur les relations entre les régions de Dosso, Sokoto et Kebbi.
Le colloque, qui fait partie intégrante du programme du comité interministériel chargé de l’organisation de la fête du 18 décembre, vise un certain nombre d’objectifs: permettre tout d’abord d’impliquer la communauté universitaire jusqu’ici absente de cette grande manifestation nationale; ensuite, à travers des réflexions autour des thèmes d’intérêt commun, favoriser une synergie entre les différentes institutions universitaires de nos deux pays; enfin, nous sommes convaincus qu’il s’agit d’une opportunité pour renforcer les liens d’amitié et de solidarité entre les populations des deux pays.
Ce colloque qui permettra de réunir des documents et témoignages sur l’histoire et la culture, les relations sociales, politiques et économiques de l’espace géographique concerné, vise, à terme, la publication d’ouvrages qui peuvent servir de base documentaire pour l’édition de manuels scolaires et universitaires pour la jeunesse scolaire et universitaire, qui vous le savez, connaît peu ou mal son environnement socioculturel et son histoire.
Pourquoi un colloque sur les relations entre les régions de Dosso, Sokoto et Kebbi?
Au-delà des frontières administratives héritées de la colonisation qui situent la région de Dosso, donc l’Arewa, le Boboye, le Goubey, le Dendi et le Zigui dans l’Ouest du Niger en espace francophone, et les régions de Sokoto et Kebbi dans le Nord-Ouest du Nigéria en espace anglophone, les communautés coutumières et linguistiques vivant dans ces zones ont en partage, une aire géographique et socioculturelle et des activités socio-économiques communes. L’objectif visé est de briser la barrière artificielle que constitue la frontière »géopolitique » qui, en réalité, n’existe pas dans le vécu quotidien des populations.
A titre indicatif, l’origine des relations entretenues jusqu’à nos jours par les chefferies coutumières du Boboye, de l’Aréwa ou du Dendi avec celles du nord Nigéria sont très mal connues du grand public. L’organisation de ce colloque constitue ainsi une opportunité pour présenter des communications permettant aux universitaires, et aussi à des personnes ressources détentrices du savoir local, d’intervenir pour éclairer les participants sur l’origine et l’évolution de ces relations.
Quels sont les principaux thèmes qui vont être développés à travers les communications qui seront animées au cours de ce colloque ?
Comme le projet d’organisation d’un colloque est l’initiative du département d’histoire de l’Université Abdou Moumouni de Niamey, même au niveau de l’université, certains de nos collègues ont cru que cela concerne uniquement l’histoire des relations entre les régions de Dosso, Sokoto et Kebbi.
En réalité, il s’agit de constituer un cadre de réflexion et d’échanges sur des problématiques communes. Pendant quatre jours, les participants vont exposer et partager leurs connaissances sur l’ensemble des éléments constitutifs des dynamiques sociales, politiques et culturelles de ces trois régions. Il s’agit aussi de faire découvrir les formes de gouvernance, les ressources naturelles, les flux migratoires, les échanges économiques transfrontaliers, etc. Le colloque s’inscrit dans une perspective pluridisciplinaire permettant d’appréhender l’ensemble des pistes de réflexion relevant de plusieurs disciplines des sciences de l’homme et de la société: la sociologie, l’anthropologie, la philosophie, la littérature orale et écrite, la linguistique, la géographie, l’histoire, l’archéologie, la préhistoire, etc.
L’histoire précoloniale, coloniale et postcoloniale des régions de Dosso, Sokoto et Kebbi: états, économie, sociétés, sites historiques, lieux de mémoire, patrimoines culturel et artistique; l’évolution des relations politiques et formes de gouvernance contemporaine; l’influence culturelle et linguistique (emprunts linguistiques, manifestations culturelles, musique et orchestres traditionnels, etc.); les communautés coutumières et littérature orale; le processus migratoire, formation de colonies et cohabitation entre communautés Zarma, Peuhle et Hausa; l’espace géographique, production agricole et pastorale, commerce et échanges transfrontaliers ; l’environnement, gestion des ressources naturelles, aménagement de l’espace rural et urbain: les manifestations récréatives, culturelles et sportives: luttes et boxes traditionnelles, festivals des jeunesses, foires annuelles, etc.; les relations sociales: entraides et solidarités intra et extracommunautaires, parenté à plaisanterie, etc.).
C’est pourquoi nous espérons pouvoir très rapidement publier plusieurs ouvrages à partir des actes de ce colloque international. D’ores et déjà, nos partenaires du Nigéria nous proposent de prendre en charge la publication des résultats du colloque en deux versions (Anglais et Français).
A moins d’un mois de la tenue de ce colloque, quel est aujourd’hui l’état d’avancement des travaux du Comité scientifique et technique ?
Au même titre que les autres commissions mises en place par le comité interministériel, par arrêté n° 006 du Président du Comité interministériel chargé de la célébration de la Fête du 18 décembre, un comité scientifique et technique chargé de l’organisation du Colloque international a été mis en place. Il est composé d’universitaires, mais aussi de personnes ressources provenant d’autres milieux. Un secrétariat et six sous comités ont été mis en place pour prendre en charge les différents aspects de l’organisation.
Au-delà des communications scientifiques qui seront présentées par les universitaires, notre idée de départ présentée au cours des réunions du comité interministériel était de mettre au cœur de l’événement les populations des différents départements qui constituent la région de Dosso, et cela, à partir d’enquêtes de terrain et de restitutions des résultats à présenter au colloque. Ainsi, chaque département viendra présenter son document au colloque pour enrichissement. L’homme propose, mais Dieu dispose, dit-on. En dehors du département de Dosso où une association locale a pu préfinancer la collecte et la restitution des données, nous n’avons pas pu effectuer les enquêtes de terrain dans les autres départements malgré la prise de contact avec les autorités coutumières et des correspondances adressées aux autorités locales, notamment les préfets, pour annoncer l’arrivée des enquêteurs et l’identification de personnes ressources. Nous reconnaissons à ce niveau les limites de notre projet.
En ce qui concerne les activités des autres sous comités, le sous-comité scientifique a débuté son programme par une mission de prise de contact au Nigéria, à Sokoto, Birni Kebbi et Argungu pour rencontrer et échanger avec nos partenaires de trois universités des Etats de Sokoto et Kebbi et les autorités religieuses et coutumières. Cette mission nous a permis de mesurer l’enjeu de ce colloque et son importance pour nos partenaires du Nigéria.
Au niveau local, nous avons échangé des correspondances pour solliciter l’implication de l’Ambassade du Nigéria et de la Commission Mixte Nigéro-nigériane.
A la date du 26 novembre, du point de vue des préparatifs, nous attendons 200 participants. L’agenda du colloque est élaboré, près de quatre-vingt (80) communications ont été envoyées au sous-comité scientifique qui en a retenu une cinquantaine pour des interventions en plénière et dans des ateliers thématiques.
Une cinquantaine de participants attendus du Nigéria ont reçu des invitations (officiels, autorités universitaires, coutumières religieuses et conférenciers). Tous les outils et messages publicitaires élaborés par le sous-comité communication sont disponibles. Nous avons pris contact avec un bureau de consultation pour la traduction simultanée. Une mission se rendra incessamment à Dosso pour faire l’état des lieux. Pour la restauration et l’hébergement, nous avons sollicité auprès du Comité interministériel un certain nombre de villas. Les autorités rectorales de l’université Abdou Moumouni de Niamey nous ont assurés de toute leur disponibilité pour contribuer à la réussite de l’événement qui rentre dans le cadre des accords de coopération interuniversitaire.
Même si, au moment où je vous parle, nous ne disposons pas encore de l’essentiel des moyens pour nos activités, le président du Comité interministériel et le recteur de l’Université Abdou Moumouni de Niamey auxquels nous faisons régulièrement l’état d’avancement de nos travaux sont parfaitement conscients de l’enjeu. Ils nous apportent quotidiennement leurs conseils pour un bon déroulement de ce colloque. C’est pourquoi nous pensons qu’en dépit du retard pris dans la mise en œuvre des cahiers de charge des différents sous comités (retard lié essentiellement aux procédures de déblocage de fonds), une fois les moyens débloqués, les activités du colloque évolueront rapidement.
Qu’est-ce que vous attendez du public en vue de la réussite de ce colloque ?
Tous les moyens seront mis en œuvre pour une participation massive des jeunes scolaires et universitaires. Par ailleurs, une plénière sera réservée aux communications en langues nationales. Les jeunes et les moins jeunes ne doivent pas rater cette unique opportunité pour partager et améliorer leurs connaissances sur le sujet. Ainsi, lorsque les livres seront publiés et largement diffusés dans les bibliothèques des écoles, collèges, lycées et universités, le participant pourra dire avec fierté: j’y étais et j’ai apporté ma modeste contribution.
Assane Soumana