Politique

Boko Haram: Issoufou sollicite le Tchad

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Après l’attaque meurtrière de Boko Haram contre la ville de Bosso, le président nigérien Mahamadou Issoufou était ce mardi 7 juin à Ndjamena, où il s’est entretenu avec son homologue tchadien Idriss Déby. Objectif : coordonner leurs efforts pour faire face à la menace terroriste.

Le tête-à-tête entre Idriss Déby et le président nigérien a duré plus d’une heure. L’objectif de la rencontre était de répondre en urgence à la menace Boko Haram à la frontière sud-est du Niger. « Vous vous doutez bien que ma présence ici à un rapport avec la situation sécuritaire dans le Bassin du lac Tchad, a déclaré Mahamadou Issoufou. Boko Haram est en train de porter un tort extrêmement important non seulement aux populations, mais à notre religion. Parce que c’est au nom de l’islam que Boko Haram sème la terreur. »

Après le tête-à-tête, le commandant de la force mixte des pays riverains du lac Tchad a été invité à se joindre aux chefs d’Etat pour décider de la conduite à tenir. Mais en attendant, le Tchad et le Niger ont décidé d’agir. « Puisque Boko Haram agit avec ses moyens, nous allons agir avec nos moyens. Et nous serons en mesure, je pense, de protéger au moins nos populations », a annoncé Idriss Déby.

Il faudra donc s’attendre à un retour de l’armée tchadienne sur le territoire nigérien sous peu.

Après l’attaque meurtrière de Boko Haram contre la ville de Bosso, le président nigérien Mahamadou Issoufou était ce mardi 7 juin à Ndjamena, où il s’est entretenu avec son homologue tchadien Idriss Déby. Objectif : coordonner leurs efforts pour faire face à la menace terroriste.

Le tête-à-tête entre Idriss Déby et le président nigérien a duré plus d’une heure. L’objectif de la rencontre était de répondre en urgence à la menace Boko Haram à la frontière sud-est du Niger. « Vous vous doutez bien que ma présence ici à un rapport avec la situation sécuritaire dans le Bassin du lac Tchad, a déclaré Mahamadou Issoufou. Boko Haram est en train de porter un tort extrêmement important non seulement aux populations, mais à notre religion. Parce que c’est au nom de l’islam que Boko Haram sème la terreur. »

Après le tête-à-tête, le commandant de la force mixte des pays riverains du lac Tchad a été invité à se joindre aux chefs d’Etat pour décider de la conduite à tenir. Mais en attendant, le Tchad et le Niger ont décidé d’agir. « Puisque Boko Haram agit avec ses moyens, nous allons agir avec nos moyens. Et nous serons en mesure, je pense, de protéger au moins nos populations », a annoncé Idriss Déby.

Il faudra donc s’attendre à un retour de l’armée tchadienne sur le territoire nigérien sous peu.

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